Ce webinaire informatif visite les multiples dimensions de l’insécurité alimentaire vécue par les personnes réfugiées et en demande d’asile, notamment dans les pays à hauts revenus tels que le Canada. Que ce soient les défis rencontrés quotidiennement en termes de disponibilité et d’accessibilité de la nourriture, ou encore les obstacles liés à la santé mentale et aux répercussions de la COVID-19, nous plongeons dans les réalités des personnes réfugiées et en demande d’asile de notre communauté d’aujourd’hui souffrant d’insécurité alimentaire.
Les personnes trans et non-binaires (TNB) migrantes sont souvent confrontées à des multiples facteurs d’oppression, tels que la transphobie, le racisme et la xénophobie. En raison de ce contexte, cette population présente un taux plus élevé que la moyenne de la population générale en termes d’anxiété, de dépression, d’idéations suicidaires et du trouble de stress post-traumatique. L’arrivée de la COVID-19 a complexifié davantage l’accès et l’utilisation des services spécialisés en santé trans.
L’entrecroisement des discriminations sociales vécues par les personnes TNB migrantes demande aux intervenant.e.s d’avoir une sensibilité au fait de porter plusieurs identités minoritaires, en termes d’identité et/ou d’expression de genre, d’identité raciale et migratoire.
Ce webinaire s’adresse aux intervenant.e.s désirant s’outiller en termes des pistes d’intervention et des stratégies prometteuses à mobiliser pour soutenir des personnes TNB migrantes. Il est centré sur les expériences et les pratiques mobilisées au sein de la Clinique Mauve.
Dans ce webinaire, Javier discutera : (1) un bref portrait des réalités des personnes trans et non-binaires migrantes; (2) l’impact de la COVID-19 sur la santé mentale des personnes TNB migrantes; (3) des stratégies d’intervention informées par l’approche transaffirmative et de stress minoritaire intersectionnel (4) des initiatives novatrices dans une perspective clinique et communautaire mobilisées au sein de la Clinique Mauve.
Ces personnes ont un statut temporaire, dans l’attente d’une décision sur l’octroi ou non du statut de réfugié, qui leur donnent accès à certains services gouvernementaux, de même qu’un accès à la couverture de santé du Programme fédéral de santé intérimaire.
Dans le but de vous donner de l’informations sur leur droits et accès ainsi que des outils pour bien intervenir auprès de cette population, le PRAIDA a mis sur pied une sensibilisation, sans frais, sur la trajectoire des demandeurs d’asile, leurs enjeux et réalités, leurs droits et accès aux services publiques et communautaires et sur l’offre de service du PRAIDA.
« L’Institut universitaire SHERPA a élaboré une formation destinée aux professionnels du réseau qui travaillent à l’accueil des réfugiés syriens. Cette formation vise à outiller les participant(e)s dans leurs interventions avec cette clientèle.
La formation s’articule en deux volets. Le premier volet introduit les professionnels au contexte culturel syrien ainsi qu’au contexte psychologique spécifique des réfugiés. Le second volet de la formation fournit des conseils clés pour l’évaluation et l’intervention auprès de cette population spécifique. Cette formation s’inscrit dans le programme de formation en soutien à l’intervention et à la gestion en contexte pluriethnique de l’Institut universitaire SHERPA. » En savoir plus →
Cette formation est proposée par l’organisme Unite for Sight et est constituée de courts modules écrits, qui retracent le parcours d’une personne réfugiée des camps, jusqu’à l’établissement dans le pays d’accueil. Les modules traitent des différents défis que peuvent rencontrer les personnes réfugiées tout au long de leur parcours, des barrières d’accès aux services de soins, ou encore de leur santé physique et mentale. Les modules allant de 1 à 7 traitent de la vie des personnes réfugiées dans les camps, et les modules de 8 à 11, de leur vie lorsqu’ils s’établissent dans les pays d’accueil. Quelques exemples de thématiques: « L’établissement et les barrières à l’établissement », « La santé et les barrières d’accès aux soins pour les personnes réfugiées »; « La compréhension interculturelle ». En savoir plus →
Cette formation en ligne de 30h se divise en sept modules et traite de divers sujets en lien avec la santé mentale des réfugiés et des demandeurs d’asile tels que le trauma, le deuil ou les difficultés d’adaptation scolaire chez les enfants. Les modules sont composés de vidéos, d’entrevues ou de présentations de chercheurs et professionnels de terrain. Cette formation cible les professionnels et intervenants, mais s’adresse également à un public plus large. En savoir plus →
Formation de 3 à 5 heures par semaine durant 12 semaines
Ce cours fait intervenir divers experts sur les questions suivantes :
- Quels sont les avantages des migrations pour les pays d’accueil ?
- Est-il permis de refouler les migrants aux frontières ?
- Les migrations sont-elles positives pour l’économie ?
- Comment les familles de migrants vivent-elles la migration ?
Vous apprendrez à repérer les préjugés et stéréotypes, à décoder les récits médiatiques pour pouvoir analyser les phénomènes des migrations de manière plus critique. En savoir plus →
En bref – Alors que le gouvernement du Québec s’efforce d’endiguer la propagation de la pandémie de la COVID19, il est indispensable de préserver le bien-être des professionnels de la santé et des services sociaux. Cela est particulièrement important pour assurer l’efficacité, la réactivité et la résilience des services de protection des personnes les plus vulnérables, dont les réfugiés et les demandeurs d’asile. Dans cette perspective, le but de cette revue rapide de la littérature est de fournir des informations utiles et fiables qui peuvent être utilisées pour promouvoir et assurer le bien-être des professionnels de la santé et des services sociaux.
Cette infographie est une mise en images des principaux points énoncés lors du webinaire présenté par Rachel Kronick en partenariat avec le CERDA, le 1er mai 2020 sur « Supporting refugee and asylum seeking families during COVID-19: challenges and possibilities ».
Cette infographie est une mise en images des principaux points énoncés lors du webinaire présenté par Cécile Rousseau en partenariat avec le CERDA, le 15 avril 2020 sur « COVID-19: bien-être des intervenant.e.s et accompagnement des personnes réfugiées ».
Cette infographie est une mise en images des principaux points énoncés lors du webinaire présenté par Cécile Rousseau en partenariat avec le CERDA, le 15 avril 2020 sur « COVID-19: bien-être des intervenant.e.s et accompagnement des personnes réfugiées ».
La crise sanitaire de la COVID-19 génère un climat anxiogène général qui peut également affecter les équipes de professionnel.le.s en santé et services sociaux au Québec. La crainte d’être contaminé ou de contaminer d’autres personnes, la réorganisation des services ou des directives parfois mal comprises, peuvent créer des climats de tensions, voire de peur auprès des intervenant.e.s. En savoir plus →
Qui sont les personnes qui se présentent au PRAIDA et quel est le rôle des professionnels qui les accueillent? Carole Robichaud est travailleuse sociale au service d’accueil du PRAIDA. Dans cette capsule, elle aborde les services offerts aux demandeurs d’asile, de l’évaluation des besoins à l’accompagnement vers les services qui les aideront à naviguer dans le système d’octroi de l’asile et à s’installer (avocat, aide sociale, logement, etc.). En savoir plus →
Le conseil (avocat ou consultant en immigration) accompagne le demandeur d’asile tout au long du processus d’octroi de l’asile, depuis le dépôt de sa demande jusqu’aux recours éventuels et aux procédures de réunification familiale. Geneviève Binette, avocate au Comité d’aide aux réfugiés, décortique le rôle de l’avocat et illustre ses propos avec quelques exemples de situations complexes. En savoir plus →
En bref – Cette fiche synthèse présente les séminaires de discussions de cas transculturels et interinstitutionnels développés par une équipe de praticiens et de chercheurs spécialisés en intervention transculturelle en réponse aux impuissances thérapeutiques que peuvent vivre les intervenants. À la base de cette pratique de pointe réside la notion de contre-transfert culturel : le patient, de par ses différences, fait surgir des représentations socioculturelles collectives chez le praticien, dont les réactions inconscientes peuvent mettre en échec l’intervention. En savoir plus →