Cette infographie est une mise en images des principaux points énoncés lors du webinaire présenté par Cécile Rousseau en partenariat avec le CERDA, le 15 avril 2020 sur « COVID-19: bien-être des intervenant.e.s et accompagnement des personnes réfugiées ».
Cette infographie est une mise en images des principaux points énoncés lors du webinaire présenté par Cécile Rousseau en partenariat avec le CERDA, le 15 avril 2020 sur « COVID-19: bien-être des intervenant.e.s et accompagnement des personnes réfugiées ».
La crise sanitaire de la COVID-19 génère un climat anxiogène général qui peut également affecter les équipes de professionnel.le.s en santé et services sociaux au Québec. La crainte d’être contaminé ou de contaminer d’autres personnes, la réorganisation des services ou des directives parfois mal comprises, peuvent créer des climats de tensions, voire de peur auprès des intervenant.e.s. En savoir plus →
En bref – Quels sont les facteurs de risque associés au confinement ? Quels symptômes psychologiques cette situation peut-elle engendrer ? Quelles mesures peut-on prendre pour réduire ces effets ?
Les personnes réfugiées sont déjà vulnérables, il est donc important de les soutenir durant la pandémie de la COVID-19. Cette infographie permettra aux intervenants de déceler les premiers signes de détresse.
En bref – Cette fiche synthèse présente les résultats d’une étude canadienne réalisée à Vancouver portant sur l’expérience de stigmatisation de personnes atteintes de VIH issues de groupes marginalisés (p. ex. : personnes réfugiées, personnes autochtones) et son impact sur leur recours aux services de santé. L’analyse thématique met en lumière quatre axes majeurs organisés selon les défis et éléments facilitants rencontrés par les personnes atteintes de VIH appartenant à un groupe marginalisé : 1) les débuts de la stigmatisation, 2) les tensions liées à la divulgation de sa maladie, 3) les expériences de recherche de services et les enjeux de la confidentialité, et 4) l’accumulation de facteurs de discrimination. En savoir plus →
En bref – Cette étude analyse de manière rétrospective les dossiers médicaux de 1063 personnes réfugiées ayant consulté entre décembre 2011 et juin 2014, en clinique de soins primaires spécialisés dans les soins aux réfugiés (Toronto). Ce deuxième volet consacré aux maladies chroniques (lire le premier volet sur les maladies infectieuses) met en lumière : 1) un risque accru chez les personnes réfugiées d’arriver avec une maladie chronique ou d’en développer une dans le pays d’accueil (cancer du col de l’utérus, anémie, élévation de la tension artérielle, diabète), et 2) une relation de prévalence entre certaines maladies chroniques et certaines données démographiques spécifiques (p. ex. : sexe, âge, pays de provenance). De manière analogue aux maladies infectieuses, ce deuxième volet souligne l’importance de fournir aux personnes réfugiées des soins primaires complets basés sur la prévention et la prise en charge des maladies chroniques. En savoir plus →