Présentation spéciale

Présentation spéciale


Puiser dans l’intime et le personnel pour raconter des histoires touchantes, c’est ce que Paul Tom fait avec sensibilité depuis 15 ans. Ses films donnent la parole à des gens que l’on n’entend pas, créent des espaces de dialogue et ouvrent les bras à l’autre.
Paul Tom est aussi monteur, concepteur de vidéos d’expositions muséales et formateur dans de projets de médiation culturelle. Né de parents cambodgiens dans un camp de réfugiés en Thaïlande, ses thèmes de prédilection sont la construction de l’identité, les relations familiales ainsi que tout ce qui touche au côté intime et fragile de l’être humain. Ses films, Bagages et Seuls, ont été sélectionnés dans une quarantaine de festivals en plus de remporter une dizaine de prix. Seuls est son premier livre.[/vc_column_text]

Conférence d’ouverture | Jour 2

Anusha Kassan

Professeure agrégée
Université de la Colombie-Britannique

Dr. Kassan est professeure agrégée à l’université de la Colombie-Britannique. Elle occupe un poste à impact élevé en santé mentale avec les enfants et les adolescents. Ses intérêts universitaires sont influencés par sa propre identité biculturelle et comprennent actuellement deux axes majeurs : les expériences d’immigration dans différentes communautés ainsi que les compétences culturelles et la justice sociale dans la formation en psychologie. Un de ses projets de recherche principal sur l’immigration est centrée sur l’intégration scolaire des jeunes nouveaux arrivants.

Conférencier·ère à confirmer

Conférence d’ouverture | Jour 1

Joey Hanna

Chef de bureau
Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR)

Joey Hanna est membre du Barreau du Québec et occupe actuellement le poste de chef de bureau du HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, à Montréal. Avant de rejoindre le HCR en 2021, Me Hanna exerçait la profession d’avocat à l’aide juridique de Montréal où il représentait des populations vulnérables, notamment des personnes réfugiées et demandeuses d’asile, devant les tribunaux en droit civil, social et familial. En parallèle, Me Hanna partageait son expertise en tant que chargé de cours à l’UQAM et professeur à l’École du Barreau du Québec. Il a enseigné le droit de la famille, le droit des personnes, la procédure civile, ainsi que les aspects pratiques et théoriques de la rédaction, de la négociation et de la consultation juridique.

Garine Papazian-Zohrabian

Professeure titulaire
Université de Montréal (UdeM)

Garine Papazian- Zohrabian est professeure titulaire au Département de Psychopédagogie et d’Andragogie de l’Université de Montréal. Elle est Directrice scientifique de l’Équipe de recherche interdisciplinaire sur les familles réfugiées et demandeuses d’asile (FRQSC). Elle est chercheure régulière du SHERPA (Recherche, Immigration et Société) et psychologue, psychothérapeute, membre de l’Ordre des psychologues du Québec.

Garine Papazian-Zohrabian est née et a fait ses études au Liban. Elle a travaillé avec Médecins Sans Frontières en Arménie où elle a effectué sa recherche pour l’obtention de son Doctorat en psychologie clinique. Sa recherche portait sur les deuils et les traumatismes psychiques de guerre des enfants du Haut-Karabagh. Rentrée au Liban en 1996, elle y a travaillé en tant que psychologue clinicienne. Après 2 ans, elle a entamé une carrière universitaire (enseignement et recherche) à l’Université Saint-Joseph de Beyrouth. Elle y a aussi dirigé l’Institut libanais d’éducateurs de 2002 à 2010. Elle est installée au Québec depuis juin 2010.

Son expérience clinique, ses recherches, son enseignement et ses publications portent sur le développement de l’enfant, son adaptation et ses apprentissages, les processus migratoires et leur influence sur la santé mentale des jeunes, les  processus normaux et pathologiques des deuils, les traumatismes et leur transmission, leur influence sur l’adaptation de l’enfant et ses apprentissages ainsi que la construction et l’expression identitaire.

Ses principaux projets de recherche financés par le CRSH portent sur le parcours pré, péri et post migratoire des élèves immigrants, réfugiés et demandeurs d’asile, la promotion du bien-être psychologique des élèves en milieu scolaire et visent le développement de nouvelles pratiques ainsi que la production de nouveaux outils pour les milieux éducatifs.

 

Panel de clôture | Des trajectoires pour un meilleur vivre-ensemble : penser à la croisée des secteurs, des disciplines et des cultures

Marie-Ève Boulanger

Coordonnatrice du Programme régional d’accueil et d’intégration des demandeurs d’asile (PRAIDA)
CIUSSS du Centre-Ouest-de-l’Île-de-Montréal


À venir.

Anusha Kassan

Professeure adjointe
Université de la Colombie-Britannique

Dr. Kassan est professeure agrégée à l’université de la Colombie-Britannique. Elle occupe un poste à impact élevé en santé mentale avec les enfants et les adolescents. Ses intérêts universitaires sont influencés par sa propre identité biculturelle et comprennent actuellement deux axes majeurs : les expériences d’immigration dans différentes communautés ainsi que les compétences culturelles et la justice sociale dans la formation en psychologie. Un de ses projets de recherche principal sur l’immigration est centrée sur l’intégration scolaire des jeunes nouveaux arrivants.

 

Anne Kouraga

Cheffe de services
CIUSSS de La Capitale Nationale (CIUSSSCN)

Originaire du Tchad (Afrique centrale), Anne Kouraga est arrivée en 2001 au Québec pour des études à l’Université Laval où elle est détentrice d’une maîtrise en service social. Elle a occupé plusieurs postes: de 2007 à 2009, cheffe de programmes Famille-Enfance-jeunesse à Ste-Anne-des-Monts (Gaspésie). Revenue à Québec, elle a été successivement de 2009 à 2019 cheffe de Programme Famille-Enfance-Jeunesse au CSSS de Québec Nord et cheffe de programme Jeunes en difficulté et santé mentale des jeunes au CIUSSS de la Capitale Nationale puis de 2019 à 2022, cheffe de programmes à la direction santé mentale, dépendances et itinérance et de 2022 à nos jours, cheffe de services de la clinique santé des réfugiés, services aux demandeurs d’asile et clinique de traitement de l’infection tuberculeuse latente.
Elle a été responsable de la relation d’aide aux résidences de l’Université Laval, assesseure et conseillère en matière de violence et harcèlement de l’Université Laval et intervenante à la maison des femmes de Québec. En dehors du cadre professionnel, Anne Kouraga est très impliquée dans la communauté africaine de Québec dont elle a été entre autres une des membres fondateurs du Conseil Panafricain de Québec (COPAQ) et la première coordonnatrice du Cercle des femmes du COPAQ.

Lisa Merry

Professeure agrégée
Université de Montréal (UdeM)

Lisa Merry, inf. Ph.D., est professeure agrégée à la Faculté des sciences infirmières à l’Université de Montréal. Elle est aussi une chercheuse à l’institut universitaire SHERPA, qui poursuit l’avancement des connaissances et le développement de meilleures pratiques en matière d’intervention de première ligne en contexte de pluriethnicité.
Elle a plus de 20 ans d’expérience en recherche sur les populations migrantes, en particulier avec les femmes enceintes ou ayant accouché. Lisa Merry a aussi travaillé sur de nombreux projets pour élaborer des méthodes de recherche plus intégrées et adaptées aux contextes multiculturels et à la vulnérabilité de ces femmes.
Son programme de recherche actuel porte sur le bien-être psychosocial des familles migrantes durant la période périnatale et pendant la petite-enfance, en utilisant une perspective transnationale.

Sylvain Thibault

Chef équipe Immigration
Comité régional d’éducation pour le développement international de Lanaudière (CRÉDIL)

Au-delà des diplômes, c’est sur le terrain que Sylvain Thibault a appris la nature profonde de son travail qu’il fait avec cœur auprès des personnes réfugiées depuis plus de 20 ans. À Montréal, pendant près de 10 ans, il a été directeur du Projet Refuge (maison d’hébergement pour hommes demandeurs d’asile en situation vulnérabilité). Il a ensuite été durant cinq ans coordonnateur du volet parrainage des réfugiés à la TCRI.
Il travaille maintenant en région comme chef d’équipe immigration au CRÉDIL de Joliette, un organisme d’accueil, d’installation et d’intégration pour les personnes réfugiées prises en charge par l’État (RPCE). Que la personne soit demandeur d’asile, réfugiée parrainée par la collectivité ou prise en charge par l’état, une même constance, celle d’être animée d’espoir et d’une nouvelle soif de vivre.

AlloCanada : le numérique au service des personnes réfugiées et en demande d’asile

Le Centre de réfugiés, en partenariat avec DevBloc, a soutenu la création et le développement d’AlloCanada, une plateforme numérique centralisant les services auxquels les nouveaux arrivants ont besoin d’accéder tout au long de leur parcours d’installation et d’intégration. Cette plateforme dresse la carte des services disponibles pour les nouveaux arrivants dans toutes les grandes villes du pays. Contrairement à d’autres ressources, cette application peut filtrer toutes les organisations susceptibles d’aider ses utilisateurs en fonction de leur statut migratoire et des types de services offerts, et construire leur propre parcours de réinstallation personnalisé.
AlloCanada est né en réponse à la pandémie de COVID-19. Les démarches d’immigration se sont complexifiées avec l’augmentation des demandes d’asile depuis la réouverture des frontières post-pandémie. L’introduction du portail IRCC/eApp et du programme OneTouch en sont des exemples. Depuis mars 2023, toute nouvelle demande d’asile doit être soumise en ligne sur le portail d’IRCC/ eApp. Auparavant, l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) remplissait les formulaires papiers avec le demandeur au point d’entrée officiel, tout en effectuant le traitement intégral de la recevabilité de la demande. Le processus se fait désormais en deux temps : le demandeur reçoit l’accusé de réception de la demande d’asile au point d’entrée et la détermination de la recevabilité de la demande sera faite après la soumission du portail. Toutefois, pour les demandes traitées à travers le programme OneTouch, la détermination de la recevabilité est faite au point d’entrée officiel mais la personne doit tout de même remplir le portail. La variété de parcours rend donc chaque étape de la demande d’asile différente d’une personne à l’autre.
Face à cette complexité, la difficulté de s’y retrouver autant pour les bénéficiaires que pour les prestataires de services concernant les ressources et l’offre de services disponibles est devenue de plus en plus évidente. Suite à des consultations auprès des organismes communautaires et de la population desservie, nous avons identifié plusieurs enjeux dont la méconnaissance des ressources existantes, la difficulté d’accès aux ressources disponibles, la difficulté d’obtenir l’information à jour sur les services offerts et les différentes méthodes d’accès aux services, les difficultés d’adaptation aux différents processus de référencement entre organismes, entre autre.
AlloCanada propose une approche novatrice en exploitant les avantages du numérique pour centraliser, personnaliser et faciliter l’accès aux services, tout en intégrant des fonctionnalités telles que la cartographie, le filtrage personnalisé, le suivi continu et le multilinguisme. En centralisant l’ensemble des services nécessaires pour les nouveaux arrivants sur une seule plateforme numérique, les utilisateurs ont un accès facile à une variété de ressources, éliminant ainsi la complexité associée à la recherche d’informations dispersées. De plus, la cartographie des services disponibles dans les grandes villes canadiennes offre une vision géographique des ressources, facilitant la localisation des services près du lieu de résidence des nouveaux arrivants. AlloCanada facilite également le suivi d’un organisme à l’autre, permettant une continuité dans la prestation de services. Cette fonctionnalité contribue à surmonter les obstacles liés aux transitions entre les différentes étapes du parcours d’intégration, ainsi qu’à faciliter le référencement et la gestion des services offerts dans les organismes.
La communication vise le partage de cette nouvelle plateforme qui a pour objectif principal d’utiliser le numérique afin de faciliter les trajectoires des personnes réfugiées et en demande d’asile.

Regards croisés de parents et d’acteurs scolaires sur les défis d’accueil et d’intégration d’enfants de familles demandeuses asiles à l’école au Québec

Comment les parents demandeurs d’asile perçoivent-ils/elles l’expérience de leurs enfants dans les écoles québécoises, et quelles sont les conséquences de ces vécus d’élèves sur la vie de leurs parents ? L’objectif de cet article est de mettre en évidence certains aspects de ces expériences auxquels les enfants ainsi que les parents demandeurs d’asile sont confrontés au Québec, en explorant les vécus éducatifs des enfants pendant leurs premières années d’installation. Nous examinons les défis rencontrés par les enfants et les parents demandeurs d’asile nouvellement arrivés, alors que leurs enfants luttent pour s’intégrer au système scolaire et à la société canadienne. Les données présentées dans l’étude ont été récoltées dans le cadre d’un projet plus grand portant sur le parcours migratoire et l’intégration des demandeurs et demandeuses d’asile au Québec. Une collecte de données complémentaire a été réalisée auprès d’une quinzaine de familles avec des enfants d’âge scolaire afin de documenter le parcours scolaire de ces derniers dans le système éducatif québécois. En rendant explicites les points de vue de ces élèves et de leurs parents, nous espérons fournir un point de départ, non seulement pour comprendre leurs expériences détaillées, mais également pour élaborer des stratégies, des ressources et des politiques éducatives susceptibles de répondre à l’avenir au mieux aux besoins de ces élèves et de leurs parents au Québec.

« Now, I like winter! » : favoriser le bien-être et la santé des mères et de leurs enfants par des pratiques centrées sur la nature et l’aventure à La Maison Bleue

Des recherches récentes soulignent les bienfaits des pratiques centrées sur la nature et l’aventure (PCNA) pour la santé et le bien-être des individus, des groupes, et des communautés. Celles-ci suscitent un intérêt croissant chez les chercheur. e. s et les intervenant. e. s, notamment en travail social, où ces pratiques se répandent depuis les dernières années. Cette communication présentera une intervention réalisée à la Maison Bleue de Parc-Extension pendant la pandémie de COVID-19, visant à soutenir le bien-être et la santé des familles par le déploiement de PCNA. L’initiative, via des ateliers hebdomadaires auprès de mères demandeuses d’asile et réfugiées accompagnées de leurs enfants de 0 à 5 ans, a mobilisé l’activité physique au sein d’espaces verts urbains ainsi que l’horticulture et l’intégration de plantes chez soi. Cette démarche a donné lieu à un récit de pratique co-signé par Mireille Malaket et Anne-Marie Bellemare (2023), publié dans la Revue Intervention (no 157). S’appuyant sur les résultats de cet article, la présentation mettra en lumière les potentiels bienfaits en termes de santé et bien-être de cette approche pour les personnes réfugiées et demandeuses d’asile, les défis rencontrés dans sa mise en œuvre et les stratégies adoptées pour les surmonter. Elle représente une opportunité unique de partager ces résultats de la perspective d’une travailleuse sociale, d’une bénévole-intervenante et d’une mère participante. Explorant l’évolution du projet trois années plus tard, la discussion s’ouvrira sur les défis et les opportunités des PCNA auprès des personnes réfugiées et demandeuses d’asile, dans une visée d’amélioration continue des pratiques.

Accès aux soins et aux services sociaux pour les personnes demandeuses d’asile : regard de la recherche sur les politiques et pratiques institutionnelles

Au Canada et au Québec, les politiques publiques et les pratiques institutionnelles dictent les conditions qui permettront aux personnes s’établissant sur le territoire l’accès aux services publics. Pour les personnes demandeuses d’asile (DA), une couverture médicale de santé est assurée par le biais du Programme fédéral de santé intérimaire (PFSI). Malgré cela, l’accès aux soins de santé et services sociaux est parsemé de multiples embûches pour les personnes DA.
Cette communication présentera les résultats préliminaires d’une recherche qualitative menée à Montréal en 2024 auprès de gestionnaires et de professionnels du RSSS, visant à documenter les politiques et les pratiques institutionnelles, qui influencent la trajectoire de soins, et éventuellement de vie, des personnes demandeuses d’asile. Cette communication permettra l’illustrer les principaux facteurs contribuant à l’adoption et au maintien des pratiques institutionnelles qui entravent ou facilitent l’accès aux soins pour les DA, ainsi que de proposer des pistes de solution.

Repenser les services de prévention aux personnes en demande d’asile, la réalité des régions

Depuis quelques années, le nombre de demandeurs d’asile en région ne cesse d’augmenter. Leur Trajectoire et leur statut sont fortement méconnus de la population en général, y compris des professionnels de la santé. Cette méconnaissance des particularités liées aux conditions des demandeurs d’asile constitue un frein à l’information et aux soins de santé générale.
En région, le défi est grand, car les organismes offrant les services et possédant cette expertise d’accompagner les demandeurs d’asile, ne sont pas à proximité.
Depuis quatre ans, nous accompagnons exclusivement les demandeurs d’asile. Ce fut tout un défi d’abord de comprendre ce statut migratoire, bien différent de celui de réfugié. Les membres de l’équipe SIPPE avons d’abord été bouleversés de constater les parcours migratoires et les conditions à leur arrivée. Nous avons toutes voulu apporter une réflexion à savoir comment nous pouvions les accompagner plus adéquatement selon leurs besoins, qui étaient différents des nôtres. Beaucoup de recherche, beaucoup d’apprentissages sur le terrain et le cumul d’expérience ont donné lieu à l’apparition de nouvelles façons d’accompagner, ainsi que de nouvelles pratiques. Des connaissances beaucoup plus élaborées de la demande d’asile nous ont permis la rédaction d’un document facilitant sur le travail auprès des DA, ainsi que la collaboration avec les organismes, écoles, et milieux scolaires, entre autres. Nous considérons ce partage important, compte tenu du nombre de demandeur·euse·s d’asile qui a explosé au cours des dernières années.

Clinique d’enseignement novatrice de prise en charge des demandeurs d’asile en médecine familiale et perception des résidents en formation

La porte d’entrée au système de santé au Québec passe par la première ligne, mais il existe plusieurs barrières rendant l’accès aux soins difficile, particulièrement pour les demandeurs d’asile. L’accès aux services de santé peut être vu comme discriminant en vertu du statut légal des demandeurs d’asile et peu de médecins se sentent outillés pour répondre adéquatement à leurs besoins.

Afin de répondre aux besoins en soins de santé des demandeurs d’asile et d’atténuer les barrières à l’accès aux soins, l’équipe du GMF-U Bordeaux-Cartierville a mis en place un projet novateur, en partenariat avec des organismes de la région, dont le SIPPE et le GAP. Il s’agit d’une clinique interdisciplinaire, impliquant notamment médecins et travailleurs sociaux, qui a deux objectifs interreliés. Elle vise d’abord à assurer la prise en charge en médecine familiale de demandeurs d’asile et ayant des besoins de santé ou de services psychosociaux. La clinique a aussi un objectif pédagogique, soit d’enseigner aux résidents en médecine familiale les particularités des soins de première ligne offerts aux migrants. Les résidents en formation seront à terme davantage outillés à poursuivre la prise en charge de cette clientèle. Un projet de recherche est également en cours étudiant la perspective des résidents face à cette innovation pédagogique.

Les objectifs de la présentation sont :

  • Découvrir le projet novateur de clinique des migrants du GMF-U Bordeaux-Cartierville
  • Réfléchir à l’impact d’une telle clinique sur la santé des migrants
  • Comprendre le projet de recherche en cours sur la perception des résidents en médecine familiale sur leur participation à la clinique

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