Cette conférence, présenté par Gabrielle Montesano (Université de Montréal), invite les personnes participantes à réfléchir à plusieurs pratiques éducatives favorisant un environnement éducatif davantage inclusif et bienveillant pour répondre aux besoins diversifiés des élèves réfugié·e·s ou en demande d’asile.
Dans ce webinaire en rediffusion, la professeure et chercheuse Bilkis Vissandjée propose une réflexion visant à discuter des meilleures pratiques d’accompagnement des femmes vivant avec une une mutilation génitale féminine/excision (MGF/E) au Québec. La professeure propose d’intégrer une perspective de droits humains, tenant compte des réalités vécues par les femmes concernées et des responsabilités du personnel de la santé et des services sociaux.
Présenté par Bilkis Vissandjée, professeure à la Faculté des sciences infirmières de l’Université de Montréal, chercheuse au Centre de recherche en santé publique et à l’Institut universitaire SHERPA.
L’initiative CoSaMi (Concertation pour la santé des personnes migrantes) est un projet qui a vu le jour en juillet 2024 et qui s’intéresse à l’amélioration de l’accès aux soins de santé pour les personnes migrantes à statut précaire, plus précisément pour les personnes en demande d’asile et les personnes migrantes sans assurance maladie.
Ce projet est co-porté par l’Institut universitaire au regard des communautés ethnoculturelles (IU SHERPA) ainsi que le Centre d’expertise sur le bien-être et l’état de santé physique des réfugiés et des demandeurs d’asile (CERDA) du CIUSSS du Centre-Ouest-de-l’Île-de-Montréal.
Pour plus d’informations sur l’initiative CoSaMi, veuillez consulter ce lien.
La présentation aborde les défis rencontrés par ces personnes réfugiées durant les phases pré-, péri- et post-migratoires. Le rôle des réseaux arméniens en tant que sources de soutien est également traité.
Découvrez les expériences d’une sous-catégorie unique de la population syrienne : les personnes d’origine syrienne-arménienne, descendantes des survivants du génocide arménien. Plongez dans cette recherche ethnographique transnationale menée dans deux pays, le Québec et le Liban, qui explore en profondeur les complexités des parcours migratoires de ce groupe ethnoculturel.
À partir d’entretiens effectués auprès de sept ICS, il est possible de comprendre comment leur rôle permet de prendre en compte les réalités des parents, de leur proposer des ressources arrimées à leur besoin et, surtout, de soutenir leurs capabilités dans un nouveau contexte de vie où tout est à découvrir.
Présenté par Josée Charette et Geneviève Audet, professeures à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Montréal et chercheures régulières à l’Institut universitaire SHERPA.
Résumé
Cette revue de littérature vise à accomplir deux grands objectifs : 1) identifier les principaux enjeux en santé mentale auxquels sont confrontées les personnes immigrantes et réfugiées, notamment pendant la période postmigratoire, et 2) étudier les facteurs de risque et de protection en matière de santé mentale chez les personnes immigrantes et réfugiées.
Au total, 81 documents ont été analysés dans le cadre de cette étude. Cette analyse approfondie a été entreprise dans le but d’orienter la création d’une trousse informationnelle en santé mentale, prévue spécifiquement pour les personnes immigrantes ayant différents statuts.
L’identification et l’étude approfondie des enjeux et des facteurs de risque et de protection en matière de santé mentale chez les personnes immigrantes et réfugiées revêtent une importance cruciale dans l’élaboration de politiques publiques et de programmes de soutien adaptés. En comprenant les défis auxquels ces populations font face, et en mettant en évidence les ressources qui peuvent favoriser leur bien-être psychologique, nous sommes mieux équipé·es pour promouvoir leur plein épanouissement au sein de la société, favoriser leur réussite individuelle et collective, et édifier une société plus inclusive.
Ce webinaire informatif visite les multiples dimensions de l’insécurité alimentaire vécue par les personnes réfugiées et en demande d’asile, notamment dans les pays à hauts revenus tels que le Canada. Que ce soient les défis rencontrés quotidiennement en termes de disponibilité et d’accessibilité de la nourriture, ou encore les obstacles liés à la santé mentale et aux répercussions de la COVID-19, nous plongeons dans les réalités des personnes réfugiées et en demande d’asile de notre communauté d’aujourd’hui souffrant d’insécurité alimentaire.
Les personnes trans et non-binaires (TNB) migrantes sont souvent confrontées à des multiples facteurs d’oppression, tels que la transphobie, le racisme et la xénophobie. En raison de ce contexte, cette population présente un taux plus élevé que la moyenne de la population générale en termes d’anxiété, de dépression, d’idéations suicidaires et du trouble de stress post-traumatique. L’arrivée de la COVID-19 a complexifié davantage l’accès et l’utilisation des services spécialisés en santé trans.